„Er könne versichern, dass die Musik von Richard Strauss voller Sonne sei, schrieb einst Claude Debussy. Und tatsächlich konnte man schon beim ersten freudevollen Anstimmen des Strauss-Liedes „Das Rosenband“ op. 36,1 den Eindruck gewinnen, der große Saal der Glocke würde urplötzlich zur sonnenbeschienenen Waldlichtung. Diana Damrau, die derzeit als eine der profiliertesten deutschen Liedinterpretinnen gilt, gefiel dabei mit beseelter, ausnehmend nuancierter Gestaltung der überschwänglich romantischen Poesien.“
Weser-Kurier (Bremen)
„Damrau insuffle beaucoup de douceur dans ces mélodies tendres et lyriques. Cette symbiose de la musique et de la poésie figure au cœur de son approche. La prononciation de l’allemand est naturelle, intelligible et habilement articulée, avec une sensibilité musicale singulière. La sonorité est légère et claire, mais peut se permettre de dégager une pâture vocale plus épaisse et retentissante dans les moments d’emphase de la dramaturgie des chants.“
Ôlyrix (Budapest)
„Diana Damrau réinvente ce répertoire qu’elle connaît sur le bout des doigts, et, magie de l’instant lyrique, crée la surprise par son engagement et son dépassement de soi. À en juger par les salves d’applaudissements et les ovations, le défi du Lied, exercice toujours périlleux, est relevé grâce au charisme émotionnel et à la maturité sereine de la chanteuse, qui partage avec son public toute la chaleureuse volupté qu’elle éprouve.“
Ôlyrix (Paris)